Parce que c'était Eux, parce que c'était moi.

Dimanche 10 octobre 2010 à 17:22

Je sais pas où on va comme ça, mais rien n'est plus excitant que l'inconnu.

J'avais pourtant finir par croire que tout était écrit d'avance, histoire tristement prévisible. Retrouver Faustine a été quelque chose de merveilleux. Mais les rencontrer eux, a été une révélation. Pierre, Léo, Jo, Fabien, Mathieu et Antoine. Il suffit d'un rien. Un sourire, quelques rires, des discussions plus ou moins banales, des chamailleries de gamins. Une séance de ciné loupée, quelques bières dans un café, une nuit trop alcoolisée "à l'arrache".  Trois fois rien, mais pas seulement. Et derrière eux  c'est tout le reste qui se remet en place. Le ciel peut bien pleurer toute la pluie qu'il souhaite, un nouveau monde se met en place pour les 8 prochains mois, avec un joli soleil.

J'ai viré tous ces articles pour lui, et j'ai souri. Il suffisait d'ouvrir les yeux et de comprendre. J'allais quand même pas gâcher ma vie pour toi.

Des cinés, il y en aura d'autres. Des nuits blanches pleines d'étoiles, des bières et de vodkas en trop grand nombre. Des rêves aussi, par milliers. Ce n'est pas une promesse, c'est une certitude. 

J'ai 17 ans, et tout est encore possible, où je veux, quand je veux, comme je le veux. Merci d'm'avoir ouvert les yeux. 

Mots en l'air.

Nouveau souffle.

Par Hazel le Mercredi 13 octobre 2010 à 0:17
C'est le jour où tu as dit que je pourrai t'appeler si je suis en ville ? Si c'est ça, je le regrette. J'aimerais vraiment beaucoup faire une soirée en ville, avec toi, un de ces quatre.
 

Nouveau souffle.









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