Tout ou rien.

Samedi 16 octobre 2010 à 20:21

67 ? Pourquoi pas 69, quitte à s'faire baiser..

Parce que c'était Eux, parce que c'était moi.

Dimanche 10 octobre 2010 à 17:22

Je sais pas où on va comme ça, mais rien n'est plus excitant que l'inconnu.

J'avais pourtant finir par croire que tout était écrit d'avance, histoire tristement prévisible. Retrouver Faustine a été quelque chose de merveilleux. Mais les rencontrer eux, a été une révélation. Pierre, Léo, Jo, Fabien, Mathieu et Antoine. Il suffit d'un rien. Un sourire, quelques rires, des discussions plus ou moins banales, des chamailleries de gamins. Une séance de ciné loupée, quelques bières dans un café, une nuit trop alcoolisée "à l'arrache".  Trois fois rien, mais pas seulement. Et derrière eux  c'est tout le reste qui se remet en place. Le ciel peut bien pleurer toute la pluie qu'il souhaite, un nouveau monde se met en place pour les 8 prochains mois, avec un joli soleil.

J'ai viré tous ces articles pour lui, et j'ai souri. Il suffisait d'ouvrir les yeux et de comprendre. J'allais quand même pas gâcher ma vie pour toi.

Des cinés, il y en aura d'autres. Des nuits blanches pleines d'étoiles, des bières et de vodkas en trop grand nombre. Des rêves aussi, par milliers. Ce n'est pas une promesse, c'est une certitude. 

J'ai 17 ans, et tout est encore possible, où je veux, quand je veux, comme je le veux. Merci d'm'avoir ouvert les yeux. 

Vivre la nuit.

Dimanche 3 octobre 2010 à 19:20

Peut-on vraiment poser des mots sur ce genre d'excès ? La soirée avait pourtant commencé de la façon la plus calme qui soit : Faustine, Isa, moi & le Shakespeare, à parler de nos vies et de celles des autres. Puis l'envie de faire la fête s'est sournoisement faufilé en nous. Et après avoir passé un bon moment avec des amis à Faustine, nous voilà dans cette rue, 5 mecs en face de nous et Pierre que j'avais rencontré tellement longtemps auparavant. Résumer ces longues heures ne serait d'aucune utilité. Juste fermer les yeux, et sourire. Il paraît que "les hasards, les rencontre forgent une destinée". Qu'aurait été cette nuit si je n'avais pas eu envie de faire pipi dans cette ruelle ? Serait-on tout de même tombées sur Mathieu, Pierre, Fabien, Léo Antoine et Jonathan ? 

Je ne veux pas y penser, n'y pensons pas. C'était irréel, excessif et honteusement jouissif. Mais il paraît que ce sont nos excès qui nous laissent les plus beaux souvenirs. 

Moi, j'ai envie qu'on recommence. 

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