A l'être aimé, A.

Que je t'aime. Tellement que ça me tue, de te savoir si mal. Ton sourire me manque, ton rire me manque. Les nuages l'ont masqué, et la pluie tombe sur tes joues. Te sauver te sauver, et oublier les heures. Laisser s'arrêter l'horloge, se vider les sabliers, et retrouver la douce lueur du soleil. Ces aurores un peu floues, ces sourires un peu niais, ces nuits trop blanches. Des Long Islands un peu trop forts, ton rire, nos expériences incongrues. Tu me manques, et ça me fait comme un trou dans le coeur. Je me battrai pour ton sourire, chaque jour, chaque heure, chaque minute. On se battra contre la vie, encore, et on finira bien par gagner. Et sauver ton sourire, mon Amour. Les années passent, les jours défilent sur ton visage de poupée et notre histoire s'écrit toujours. Avec des ratures parfois. Des taches d'encre imprévues, et des blancs. Mais il n'y aura pas de fin.

J'ai hâte du jour où on sera vieilles, deux commères snobs et acariâtres dans notre maison de retraite, à mater les p'tits jeunes et à se faire des nuits entières d'Almodovar.
Je ne serai jamais loin de toi.

 

Mots en l'air.

Nouveau souffle.

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